#ChallengeAZ - BILAN


BILAN #CHALLENGEAZ 2019






6ème participation au #ChallengeAZ initié par Sophie Boudarel et la Gazette des Ancêtres.

C’est toujours un grand plaisir d’écrire et de faire partager mes découvertes.
Pourtant, j’ai bien cru ne pas pouvoir y participer cette année faute de temps ! Je m’étais inscrite très tôt, dès que Sophie avait envoyé le lien pour les inscriptions. Mon Thème était trouvé, j’avais le titre de chacun de mes articles sauf quelques lettres ! 

Mais d’autres occupations avaient pris le dessus, notamment la photo, et nous sommes pas mal partis en « vacances » avec mon mari !

Au 25 juillet, seuls les B, C, G, H, I, L, M, N et T étaient bouclés, mais certains des articles étaient déjà écrits depuis longtemps !

Au 11 octobre j’en avais écrit  deux de plus ! Mais je m’interrogeais quand même sur ma participation, car je n’avançais pas dans la rédaction !

 

Le 28 octobre, 3 jours avant le départ, ADRENALINE est ma cousine !  J’ai beaucoup avancé, et écris 18 articles ! C’est vrai il en restait encore 8 dont les dernières lettres de l’alphabet (W.X.Y.Z ainsi que le K), et là, les mots ne comptaient pas triple !!

MAIS COMME D’HABITUDE j’y suis arrivée !


Je crois, comme je l’ai dit à plusieurs reprises, qu'on est tous un peu "ZINZINS" ! On se dit que plus jamais, mais tous les ans on recommence, recommence, recommence ... et le pire c'est que l'on a toujours quelque chose à raconter ....

ALORS QUOI, LES VIEUX MÉTIERS INSOLITES, DISPARUS !

Ces clichés de métiers disparus que nous regardons avec curiosité et étonnement sont dus à l’inspiration et au génie des premiers photographes.
Parfois locaux, horlogers, buralistes…plus souvent citadins, Parisiens cultivés de pittoresque et épris d’exotisme que la pénétration du chemin de fer conduit notamment en Bretagne, ces pionniers de la photo ont fixé sur leurs plaques, pour leur plaisir et pour le nôtre, les scènes d’une culture originale et authentique. Photographes de talent, traquant les sujets jusque dans les intérieurs, ils nous ont légué un patrimoine inestimable de documents ethnographiques fait de scènes touchantes de vérité et de simplicité. 

Gagne petit, gagne denier, gagne misère, gagne néant, ces expressions désignaient les humbles qui exerçaient les petits métiers des villes et des champs, jusqu’au milieu du siècle dernier.

Nous persistons à dire 
«Mentir comme un arracheur de dents », 
« Avoir la foi du charbonnier », 
« Se comporter comme un goujat »,
 « Se garder des charlatans », 
« Jurer comme une harengère ».

Leur travail fut vital dans une économie largement fondée sur l’autarcie et sur l’épargne. 

Ils raccommodaient, recyclaient sans fin les modestes biens de leurs clients ; à une société laborieuse, ils ont offert l’appoint de leur savoir et leur savoir-faire.

Pendant plusieurs siècles, marchandes, artisans ambulants, saltimbanques ont animé les villes et scandé de leur passage la vie des campagnes, apportant avec eux, outre leur tour de main ou leur marchandise, des nouvelles du monde extérieur.

Vers 1860, on estimait qu’un huitième de la population parisienne, soit environ deux cent mille personnes vivait de petits métiers.


Vous avez été nombreux à me suivre, tant sur mon blog, que sur Facebook ou Twitter.

Les petits métiers oubliés ou insolites  que je vous ai présentés vous ont je l’espère, permis de voir comment vivaient certains de nos Anciens, et peut-être avez-vous retrouvé l’un de ces métiers dans votre généalogie.


Merci pour tous vos commentaires !

 


Mon « Acheteur de Chevelures », et mon « Ecouteuse des Trépassés » ont fait des records de visite et surpris beaucoup d’entre vous ! 



 















Je vais maintenant pouvoir me consacrer à la lecture de vos blogs.  La tâche est à mon avis plus ardue que l’écriture des articles ! Seulement 26 articles à écrire mais 78 blogs et environ 2028 articles à lire !! Un autre «#challengeAZlecture dans le #ChallengeAZ !





Mais vu ce que j’ai déjà picorer de ci de là, le niveau est très bon,  et c’est toujours un plaisir de découvrir tous vos blogs et les contenus de vos articles, qu’ils soient purement généalogiques ou pas.

Sophie Boudarel a twitté l'autre jour "Je crois que nous avons perdu Véronique ! Le #challengeaz rendrait-il fou ?"
Je pense que cela n'est pas faux ! 
AVANT de lire tous vos articles, je vous concocte un #Calendrierdel'avent#ChallengeAZ sous forme de "UNE" de "journal" avec l'ensemble des titres de vos articles ! SURPRISE SURPRISE !! J'espère que cela vous plaira !  

Grâce à ces divers challenges (généathèmes, challenge AZ etc...) je vois la généalogie autrement. 

Un GRAND MERCI encore à Sophie et ses acolytes qui nous ont permis de rencontrer d’autres généablogueurs, d’échanger et de partager.

Je ne suis pas sûre que sans ces défis, nous nous soyons autant penchés sur nos Ancêtres, leurs parcours, les lieux où ils ont vécus, leurs métiers, et tout simplement sur leur histoire avec un grand H !




 
Tous ces challenges sont des « TRAITS D’UNION » entre le passé et le présent, une rencontre plus ou moins approfondie avec nos Ancêtres, mais également  un véritable vecteur de liens, de rencontres, d’échanges et de partage.




Tout simplement 

  
Bonne lecture à toutes et tous et à l’année prochaine pour un nouveau #ChallengeAZ !

#ChallengeAZ - Z comme ......



Dernier jour du #ChallengeAZ 2019 ! 





Un cavalier, qui surgit hors de la nuit
Court vers l'aventure au galop
Son nom, il le signe à la pointe de l'épée
D'un Z qui veut dire Zorro

Zorro, Zorro
Renard rusé qui fait sa loi
Zorro,Zorro
Vainqueur, tu l'es à chaque fois

Zorro !
Zorro !
Zorro !
Zorro...

Je clôture mon tour des métiers insolites et disparus par une petite touche d’humour !

Pour le Z voici !

Zorro (mot qui signifie « renard » en espagnol) 

 

C’est un justicier masqué vêtu de noir qui combat l'injustice dans la ville de Los Angeles, en Californie espagnole (Alta California) (1769-1821) au sein de la Nouvelle-Espagne, à l'époque où Monterey en était la capitale. 

Son costume entièrement noir comprend une cape, un chapeau connu sous le nom de sombrero cordobés, et un masque domino qui couvre la partie supérieure de son visage.




Sources ; Wikipédia - You tube

#ChallengeAZ - Y comme YOLEUR





Maraîchin voiturier par eau pilotant une barque appelé "yole" ou "niolle". 
Le yoleur exerçait une activité de taxi et de transport de marchandises ou de bestiaux sur les canaux des marais.




















De vastes prairies, d’immenses roseraies et de belles rivières ombragées enchantent le promeneur de la Belle Epoque, et le déconcertent aussi.

Le Marais poitevin, situé sur un ancien golfe maritime est une région singulière.

Dans ce pays, les routes sont des rivières. Et l’unique véhicule au début du XXème siècle, c‘est une yole, appelée « Plate ».
Propulsée à l’aide d’une « pigouille » (une perche), elle transporte les troupeaux d’un pâturage à l’autre, les enfants à l’école, les familles à la messe. Et même le jeune fiancé qui fait sa cour…


La yole est un bien précieux, que l’on offre en dot aux futurs époux.





Sources ; Petits métiers des villes Petits métiers des champs  (Fabienne Reboul Scherrer  Editions France Loisirs)